La pluie déjà au rendez-vous à Lubumbashi



"Je viens de la Katuba, il pleuvinait. Lorsque je suis arrivé au centre commercial de Lubumbashi, s'était déjà terrible. Je pense que cette année, la pluie va causer beaucoup de dégats. Quand on est arrivé à Gambela, il n'y avait pas moyen de traverser les avenues".

Elle a été beaucoup attendu par les lushoises et lushois, cette fois ci c'est la bonne. Mardi 04 octobre 2016, une grosse pluie s'abat sur la ville du cuivre. Des milliers des personnes sont atteint par cette première. S'agit-il d'une bénédiction ou de toute autre chose? S'interrogent un père de famille!

Une pluie ayant durée plus de deux heures. Plusieurs lushois étaient contraint de traverser des avenues par manque de véhicules. A l'exemple de cette dame: "Je viens de la Katuba, il pleuvinait. Lorsque je suis arrivé au centre commercial de Lubumbashi, s'était déjà terrible. Je pense que cette année, la pluie va causer beaucoup de dégats. Quand on est arrivé à Gambela, il n'y avait pas moyen de traverser les avenues".

Déjà, le lundi 03 octobre, les premières gouttes de pluie ont été vu à la Gécamines, un quartier se trouvant dans la commune de Lubumbashi.
Voici une avenue de Lubumbashi après pluie


Une pluie qui commence top


Ca n'est pas une habitude à Lubumbashi de voir les premières pluies au début du mois d'octobre. Les parents doivent déjà prendre des précautions pour leurs enfants (les bleus et blancs).
Mais cette pluie a aussi plusieurs conséquences selon les médecins.
En Afrique, la pluie est aussi l'affirmation de l'expression Mariage heureux, mariage pluvieux. La pluie, même invitée de dernière minute, ne gêne personne car il s'agit d'un temps festif réunissant une petite collectivité, néoformée par l'assemblage rituel de deux familles, à cette occasion. L'expression anodine dévoile aussi surtout un rôle antique et crypté, mais évident de fertilité païenne de la pluie.


Les autorités ont du pain sur la planche

Il faut le dire, pendant la saison des pluies, les avenues de Lubumbashi se déteriorent. Pour cause, des eaux stagnent sur les chaussées.
Les routes de Lubumbashi manquent des canalisations pour permettre aux eaux de bien s'acheminer vers leurs lits.


Jules Max Mbuyu


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